Sélectionner une page

3 : Triomphe de l’Islamisme

par | 7 Déc 2020

En 13 siècles, l’Islam a montré sa vraie nature. Il ne prône ni la liberté, ni l’égalité, ni la fraternité. Il est à l’opposé de notre civilisation chrétienne à laquelle il fait une guerre sans merci. Nous n’avons pas le même Dieu. Pour lui, s’il a 99 noms, il n’est ni Amour ni Père, et l’homme n’est pas fait à son image. Il s’agit donc d’une contre-révélation, destructrice des « béatitudes » et porteuse de violence, comme l’a montré, en 2006, la mauvaise querelle qui a suivi le prononcé du discours du pape Benoît XVI à l’université de Ratisbonne. Aimer ses ennemis lui est inconcevable. En vain le général Sissi a-t-il demandé à l’Université Al Azar de mettre une sourdine aux appels à la violence contenus dans le Coran. Faire la promotion de l’Islam revient donc à se tromper d’adversaire.

Songeons à M. Vincent Peillon appelant de ses vœux l’éradication du catholicisme sans lequel l’achèvement de la Révolution serait impossible. Deux ans après, il fut nommé ministre de l’Éducation nationale ! La nomination d’une Marocaine à la même fonction manifesta une même volonté de déconstruction de notre identité. En 1974, le président Houari Boumediene prédit, à la tribune des Nations-Unies, une déferlante islamique sur la France, et conclut en ces termes crus son propos : « C’est le ventre de nos femmes qui nous offrira la victoire. » De fait, Jacques Chirac et le président Giscard d’Estaing sont allés au-devant de ses aspirations : ils ont, dans un même temps, légalisé l’avortement des Françaises et généralisé le regroupement familial. Devenu président, Jacques Chirac dira que les racines de l’Europe sont « autant musulmanes que chrétiennes » et confessera benoîtement, dans Chaque pas est un but : «  J’ai voulu que la France devienne un pays multiracial et multiculturel. » Babeuf, aujourd’hui, parlerait de « populicide. »

Depuis plusieurs dizaines d’années, les monarchies du Golfe déversent dans nos ports des containers de propagande islamique, au su du ministère de l’Intérieur, sans réaction de sa part. Son homologue algérien, s’il criminalise chez lui le prosélytisme chrétien, est invité chez nous à l’inauguration de nouvelles mosquées. Le principe de base de toute diplomatie, la réciprocité, est ignoré. Où sont les protestations de nos dirigeants et de l’Europe à l’égard d’États qui condamnent la liberté de conscience, et le conditionnement du financement de mosquées sur nos territoires, à l’ouverture de lieux de culte d’autres confessions dans les leurs ? Nous continuons de verser des milliards d’euros à une Turquie qui rêve d’obtenir par la démocratie ce qu’elle n’a pu conquérir en plus de mille ans par les armes. Enfin l’Organisation de la Coopération islamique, révèle Jean-Frédéric Poisson, œuvre à empêcher l’assimilation des musulmans dans les pays qui les accueillent, où ils forment un État dans l’État.

Faut-il s’étonner que, de manière récurrente, des Français d’origine algérienne brûlent des drapeaux français et exhibent le drapeau algérien, changeant en rue d’Isly, le soir de l’indépendance, les Champs-Élysées, comme j’en ai été le témoin. Leur arrogance est sans limites. Ils se sentent portés par une vague démographique en leur faveur et un sentiment d’irresponsabilité encouragé par notre timidité, quand ce n’est pas notre veulerie. (Dans la bourgade de Mèze, d’où je vous écris, les Françaises d’origine disent des musulmans locaux : « Bientôt ils exigeront de nous de leur laisser le trottoir. ») Aussi n’ai-je pas compris qu’aspirant à devenir président de notre pays vous ayez pris l’initiative de le dénigrer lors de votre rencontre avec le président Bouteflika, sans rappeler, à tout le moins, que la conquête de l’Algérie avait été motivée par le souci de mettre fin à la nuisance multiséculaire des Barbaresques qui avaient réduit en esclavage plus de deux millions d’Européens. Cette conquête fut d’ailleurs applaudie à l’époque par les pays civilisés. On appelait Alger « la ville blanche » en raison du nombre d’esclaves européens, souvent affectés à la construction et à la réfection de ses remparts.

4 : La France gouvernée contre sa nature.

 

Sur les Réseaux sociaux…

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *